Tout au long de sa carrière, le grand Abdelaziz Meherzi s’est forgé un cachet qui lui est propre. Rien ne l’a fait dévier d’un chemin que lui seul a tracé dans le paysage théâtral sauf parfois l’envie de nouvelles aventures. Le vaudeville pour lui est une manière d’être en communion avec le public, lui offrir un pur moment de plaisir, lui faire vivre des situations cocasses et surtout le tenir en haleine avec les ingrédients qu’il faut entre malentendus, quiproquos, manipulations jusqu’au dénouement.
Par Neila GHARBI
Il n’y a pas de mal à ce que la culture soit rentable. Pourquoi pas ? Après tout, il y a lieu de récupérer l’argent investi dans un projet. C’est la moindre des choses. La culture à but non lucratif est d’un autre temps. «L’art pour l’art», slogan bohémien du XIXe siècle, n’a plus cours de nos jours. L’Etat providence, c’est fini ou presque. La culture peut-elle survivre sans les fonds publics ? Sans subventions, comment la culture pourrait-elle vivre ?
Dans le cadre du programme national «Tunisie, Cité des civilisations», la maison de la culture de Siliana a programmé une manifestation cinématographique intitulée «Cinéma de la mémoire».
Une mention spéciale a été attribuée par le jury du concours «Prix du Film de la Fondation Robert Bosch», au projet du film documentaire «Streams» (Fouledh) réalisé par Mehdi Hmili et produit par Moufida Fedhila et Michel Balagué (coproduction tuniso-allemande).
C’est en hommage à un maître en théâtre, et un ami regretté que Fadhel Jaziri a choisi de monter, en coproduction entre le Théâtre national tunisien et Nouveau Film, la pièce «Kaligula». C’est comme un écho, et un dernier adieu à Mohsen Ben Abdallah, qui a joué il y a juste 56 ans dans le Caligula «nationalisé» par Aly Ben Ayed, adaptée de l’œuvre de Camus.
Inauguration officielle du premier multiplexe Pathé de Tunisie et d’Afrique mardi dernier en présence du ministre des Affaires culturelles et du président du groupe Pathé, Jérôme Seydoux —, et de Wassim Béji, président de Pathé Tunisie, et de Ahmed Amine Azouzi, directeur de Pathé Tunis City.
En marge des Journées de la musique arabe de Sousse, des conventions de partenariat ont été établies entre l’association Sombati de musique arabe, les médias et les divers sponsors étatiques et privés.
Ouverture aujourd’hui de la première édition de «Change Doc», le Festival du développement durable organisé par la Maison de l’image, en collaboration avec Global Play Ground Stockholm.
Toujours dans le cadre de la troupe de la Ville de Tunis, la nouvelle création de Meherzi est un vaudeville hilarant, aux personnages colorés et surtout au goût si plaisant d’un temps duquel nous sommes nostalgiques.
Les préparatifs techniques et logistiques, ainsi que la campagne promotionnelle de la nouvelle création artistique tuniso-italienne de l’Italien Giuseppe Verdi, «Opéra La Traviata de Verdi», sont actuellement en cours.
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