Une nouvelle lecture du paysage sportif et de l’industrie du sport s’impose. Quelle vocation ? Quels moyens et surtout quels modes de gestion ?
Les tourmentes que vit le sport en Tunisie tant au niveau des clubs que des fédérations nous donnent un aperçu réel sur le dysfonctionnement du sport tunisien. On ne va pas rentrer dans les détails de ce dysfonctionnement et pourquoi en sommes-nous arrivés là, nous préférons tirer vers le haut et essayer de proposer une approche qui permette de rebondir et de profiter de l’extraordinaire potentiel du sport et des sportifs tunisiens.
Les supporters sont inquiets ! La Chabiba s’enlise
La dernière défaite face à l’ESS a provoqué un vent de scepticisme. Après la fin du match, les supporters, mécontents, ont contesté les choix du staff technique et ont réclamé le départ de l’entraîneur Mouelhi.
... aux certitudes clubistes
Le Club Africain n’a sans doute pas tous ces problèmes, sauf celui de confirmer ses potentialités et ses richesses en dépit de son effectif assez limité. Et ça aussi ce n’est pas très facile, quand on sait que le plus gros de la pression reposera sur les épaules des camarades de Ben Yahia.
Si l’attaquant « sang et or » a retrouvé ses repères ces dernières semaines, ce n’est pas le cas de son homologue clubiste qui, lui, entame sa traversée du désert.
En football, comme dans les autres domaines de la vie, les cycles se succèdent et ne se ressemblent pas. A un moment de sa carrière, un footballeur professionnel connaît son heure de gloire.
L’ancien entraîneur du Club Africain et du Club Sportif Sfaxien, Chiheb Ellili, est tout près de rejoindre un accord avec le club jordanien Al Jazira qu’il avait déjà dirigé lors de la saison 2017-2018.
Le ministère a promis d’y remédier.
Dans un précédent article nous avons rapporté que la Fthb, engluée dans une crise financière d’une ampleur sans précédent consécutivement à la réduction, par l’ex-ministre de la Jeunesse et des Sports, de 30% de son allocation annuelle, s’est adressée à l’actuelle ministre dans l’espoir de remédier à une situation devenue à tous points de vue absolument intenable.
Le Mondial espagnol en point de mire
Dans le cadre de la préparation du Championnat du monde juniors qui aura lieu en Espagne du 15 au 28 juillet 2019, l’entraîneur national M. Mohamed Ali Sghir a convoqué 18 joueurs pour le stage qui a débuté récemment.
La préparation du championnat méditerranéen bat son plein.
L’Equipe nationale cadettes, natives 2002-2003, disputera un 3e match amical dans le cadre de son programme de préparation pour le championnat méditerranéen (14-21 avril), qui sera probablement organisé en Tunisie, et pour la CAN du Niger (18-25 septembre 2019).
Il a fallu sept ans d’attente pour que l’Equipe de Tunisie de kyokushinkai karaté soit championne arabe.
La 10e édition des derniers championnats arabes de kyokushinkai karaté est à marquer d’une pierre blanche.
L’Espérance de Tunis a terminé en beauté le premier tour et rencontrera demain Khoubeïl de Yémen en quarts de finale.
Tunis et Radès vivent avec passion l’événement. Hier ce fut la dernière journée du premier tour de trente-trois rencontres. La compétition arabe s’arrête aujourd’hui pour permettre aux qualifiés pour les quarts de finale de prendre un nouveau souffle et préparer de nouvelles dispositions tactiques tout en procédant aux correctifs nécessaires.
Idem pour les éliminés concernés désormais par l’étape du classement de la neuvième à la dix-huitième place.
Le président de la FTSAAA Maher Attar se veut optimiste.
Avec, à son actif, deux rallyes (2017 et 2018) qui ont connu un franc succès, la Fédération tunisienne des sports aéronautiques et activités associées (Ftsaaa) est bien partie pour gagner d’autres challenges dont, en premier lieu, la 3e édition du rallye ULM (Aviation ultra légère motorisée) qui sillonnera incessamment le pays avec une forte participation étrangère.
Par Jalel MESTIRI
La morale sportive peut-elle avoir un fondement politique? Les relations entre sport et politique font souvent l’objet d’appréciations contradictoires. La plupart des acteurs du monde sportif — dirigeants, pratiquants, éducateurs — croient en un sport par essence apolitique. Et lorsque le politique se fait trop pressant, ils dénoncent et condamnent ce qu’ils considèrent comme un détournement ou une perversion. De leur point de vue, le sport doit être gardé de toute ingérence politique, il n’a rien à faire ni à voir avec les luttes idéologiques. Cette politique de l’apolitisme vise à préserver l’autonomie du champ sportif.
Dix-huit ans après, une société d’organisation de matches a eu l’ingénieuse idée de dépoussiérer la Supercoupe de Tunisie. Un trophée qui gagne en valeur sur le double volet sportif et, surtout, financier.
Afouen Gharbi est de retour sur le banc de l’Etoile Sportive de Métlaoui. Le club pointe à une inquiétante 11e place du classement de L1. La mission du coach sera relativement compliquée. Ce dernier évoque les défis de cette aventure.
Après sa défaite inquiétante dans son fief lors de la première journée retour du championnat face à l’Union Sportive Monastirienne (2-0), le Stade Tunisien s’apprête à tourner la page avec un groupe remodelé. Il faut dire que les dirigeants bardolais n’ont pas lésiné sur les moyens pour doter le groupe de renforts de tout premier ordre. Bref, le ST ne fait pas mystère de ses ambitions, soit atteindre à terme le podium et retrouver ainsi son lustre d’antan. Ce faisant, Mohamed Mkacher s’est récemment penché sur le volet mental en vue de tourner la page du dernier revers concédé face à l’USM et surmonter les lacunes entrevues ça et là. Sur ce, le premier rendez-vous de la deuxième partie de saison aura lieu ce dimanche à Gabès face à la Stayda.
La Supercoupe de Tunisie opposant l’EST, champion de Tunisie en titre, et le CA, vainqueur de la Coupe, aura lieu le 24 février 2019 à 18h00 au stade d’Al-Gharafa à Doha. La Direction nationale d’arbitrage a désigné l’arbitre international tunisien, Youssef Srairi, pour arbitrer ce choc. Sauf que le bureau directeur du club de Bab Jedid a contesté cette désignation. Attendons voir...
Appelée à signer sa première victoire après les deux défaites face au CSS et au Raja et le nul face aux Burkinabés, l’Etoile a cherché surtout l’essentiel, à savoir le résultat face à une JSK à la recherche d’un exploit dans ce match retard de la Ligue 1. De ce fait, les Etoilés n’ont pas pris des risques derrière en fermant les espaces devant les attaquants adverses, tels que l’entreprenant Sylla et Sassi. Il fallait procéder par des assauts dans les deux couloirs de Hanachi d’un côté et Belarbi — enfin titularisé — de l’autre, qui avaient la tâche de créer le trou et servir l’inefficace Laâribi. Cette tactique a porté ses fruits, et ce, grâce à un milieu de terrain équilibré et vigilant guidé par le retour de l’international Ben Amor qui a été époustouflant.
Le nom du nouvel entraîneur devrait être dévoilé après une réunion du comité directeur de l’association, indique-t-on de même source.
La rupture entre les deux parties intervient après la défaite du club aghlabide à domicile face à l’ES Sahel (2-0), dimanche dernier, en match retard de la 14e journée de la Ligue 1, qui a plongé un peu plus l’équipe en bas du tableau.
Si la compétition du paly-off en nationale A se poursuit dans des conditions normales, il n’en est pas de même pour celle du play-out où l’heure est à la grogne et à la protestation, sur fond de ce qui est convenu d’appeler «l’affaire du match Béni Khiar-Chihia».
Le choc de la 7e ronde du play-off a tourné à l’avantage des « Sang et Or ». D’une courte tête, l’EST s’est imposée sur le score de (29-28). Lors de la mi-temps, le score était à l’avantage des Espérantistes (15-14). Grâce à ce précieux succès, l’EST caracole en tête avec deux points d’avance sur son adversaire du jour et concurrent direct pour le titre. Du côté de Mahdia, les Fatimides d’El Makarem ont survolé leur match face à Jammel.
La reprise du championnat ne fut pas réussie pour les Aghlabides. Lamentable retour à la case départ des Kairouanais. Les protégés de Mouelhi ont raté leur match et ont perdu contre l’ESS (0-2), présentant un rendement modeste face à une équipe étoilée organisée et appliquée en défense et en attaque. Malgré une bonne entame de la rencontre, les Aghlabides ont été incapables de concrétiser leurs actions. La stratégie de l’équipe visiteuse a donné ses résultats, puisqu’à la 37’, l’ESS a réussi à ouvrir le score suite à une mauvaise relance de la balle de la part de Hamdi dans les 16 m. Belarbi ne rata pas l’opportunité pour donner l’avantage à son équipe. On s’attendait à la réaction de la Chabiba, mais les joueurs ont été touchés moralement. Ils ont reproduit les mêmes fautes en défense, et suite à une attaque rapide, Ben Amor dribble un défenseur avant de servir Hannachi dans les 16 m et ce dernier ne rata pas son tir face au gardien Frioui pour doubler la mise.
Comme prévu, le Championnat national de cross (toutes catégories) s’est déroulé à Gafsa avec la participation d’environ 800 athlètes appartenant à 50 clubs affiliés à la FTA. Et ce sont les athlètes de Kairouan et Sidi Bouzid qui se sont illustrés en remportant la plupart des titres individuels et la totalité des titres par équipes. Chez les féminines, les quatre premières places aux classements individuels ont été remportées par les signataires des clubs de la région de Sidi Bouzid, à savoir le Club Olympique de Sidi Bouzid, l’Avenir Sportif de Sidi Bouzid et le Croissant Sportif Regueb. Chez les garçons, le Club Municipal d’Athlétisme de Kairouan a raflé trois titres et le quatrième a été remporté par l’Avenir sportif de Sidi Bouzid.
Slah Fessi a été un cas dans le football tunisien. Sa renommée s’est déclenchée lors de sa concurrence loyale avec le légendaire Attouga et Naili. Il a longtemps vécu à l’ombre de son idole, Attouga. Il a fallu faire carrière en Allemagne, puis au Stade Gabésien pour faire un come-back réussi au CA et devenir un titulaire indiscutable au club de Bab Jedid.
Par Jalel Mestiri
Rien n’est plus comme avant dans le championnat de Tunisie et dans tout son environnement. Les grands hommes, les grands responsables, les grands joueurs figurent à quelques éléments près dans les livres de l’histoire. D’une année à l’autre, d’une saison à l’autre, l’enlisement est collectif. Que ce soit sur le plan de fiabilité sportive, ou d’ordre structurel, la compétition n’a plus la même identité, encore moins la même vocation. Elle a beaucoup perdu de sa crédibilité.
L’établissement d’un bilan est toujours une opération délicate en raison des réactions qui s’ensuivent. En effet, les intervenants, la disponibilité et la qualité des acteurs et de leur encadrement, le milieu ambiant, les influences endogènes et exogènes et bien d’autres facteurs sont toujours à prendre en considération pour essayer de se rapprocher de la vérité.
Quel jugement portez-vous sur la phase aller ?
«La phase aller a perdu de son charme. Elle a été trop saccadée en raison de la participation de plusieurs équipes aux échéances arabes et africaines sans oublier l’activité de l’équipe nationale. Cette première phase du championnat national a duré entre 6 et 7 mois. Comment voulez-vous qu’on juge du niveau technique de cette phase ?
... a estimé notre invité pour qui le titre du championnat sera disputé entre l’EST, le CSS, le CAB et l’ESS, alors que le reste des équipes se livrera une bataille sans merci pour éviter les frayeurs du purgatoire...
«La phase aller du championnat a été conforme à la logique. L’EST était au-dessus du lot en réalisant des résultats positifs, soit à l’échelle nationale, soit en Ligue africaine des champions. Le CSS et le CAB se sont illustrés. D’ailleurs, ils n’ont pas été battus durant l’aller.
L’EST a fini par prendre le dessus même après un départ moyen.
On le dira pour la énième fois, l’EST n’a pas de concurrent sérieux et qui a le souffle long en compétition. C’est une thèse qui se confirme d’une saison à l’autre sans qu’il y ait le moindre contre-indice. Le championnat reste déséquilibré : il y a l’EST, d’une part, et les autres clubs, d’autre part. Même les plus grosses cylindrées du championnat, comme le CA, l’ESS ou le CSS ne peuvent plus rivaliser avec les «Sang et Or».
Avec peu de ressources financières, et privés de leur stade, les Cabistes, emmenés par Montassar Louhichi, ont épaté par leur talent et leur détermination. Les résultats ne pouvaient que suivre…
Clôturant la troisième marche du podium avec 28 points au compteur, les Cabistes entament la phase retour du championnat comme sérieux prétendants au titre. C’est qu’ils n’accusent que cinq points de retard par rapport au leader espérantiste.
Avec un effectif moyen et ne pouvant évoluer à domicile car privée de son stade, l’équipe de Métlaoui ne pouvait aspirer à un meilleur parcours durant la phase aller du championnat.
«Nous avons entamé le cycle préparatoire le 9 juillet 2018 alors qu’à ce moment, d’autres clubs avaient déjà bouclé la 2e phase. C’était prévisible surtout que le groupe a subi une saignée considérable à l’intersaison avec le départ de 10 joueurs dont 7 faisaient partie de l’équipe type.
« Je considère que la phase aller du championnat national fut tronquée à cause des nombreux matches en retard. Un, voire trois matches en retard… Cela a influé négativement sur le charme de la compétition et sur le rendement de plusieurs équipes. Les prétendants habituels étaient égaux à eux-mêmes sauf le CA qui a perdu beaucoup de ses moyens, et ce, pour différentes raisons. L’EST a su comment gérer les différentes compétitions auxquelles elle a participé.
«Au vu des conditions défavorables sur le double plan des finances et de l’infrastructure dans lesquelles nous avons évolué, nous pouvons dire que nous avons réalisé une performance en nous classant 3e à l’issue de la phase aller dans un championnat perturbé par les trêves à répétition. En outre, posséder la meilleure attaque avec 21 réalisations en 13 matches et ne pas perdre tout au long de cette période est très réconfortant».
L’ancien joueur de l’équipe nationale estime que la première manche de cette saison était marquée par l’instabilité au niveau des directions techniques. Chose qui a entraîné un recul bien remarqué du niveau du championnat.
En achevant la phase aller avec 12 points, les Aghlabides ont évité le pire en attendant le rachat à la reprise.
« Le bilan de l’équipe, au cours de cette phase aller, reste satisfaisant et qui répond aux objectifs fixés par le comité de Memni après la prise des commandes du club suite à une entame de saison difficile. Les élections du nouveau bureau directeur se sont déroulées dans des conditions tendues et elles ont chambardé la préparation d’intersaison. L’équipe sénior n’a pas réussi à dénicher des éléments pour renforcer le groupe et remplacer les partants. Le staff technique est formé d’enfants du club.
« Le niveau technique lors de la phase aller était tout juste moyen pour différentes raisons dont notamment le report continu des matches à cause de la participation de beaucoup d’équipes aux compétitions arabes et africaines. Par exemple, le ST jouait un match et se reposait 3 à 4 semaines.
«Personne, à l’aube de l’actuel exercice, n’aurait parié sur un classement aussi honorable du CAB. Même pas notre large public que je remercie pour son soutien inconditionnel. Mais, très logiquement, les plus avertis savaient parfaitement que notre effectif est riche et capable de concurrencer les meilleurs si seulement...
Une victoire qui fera du bien pour des Etoilés réalistes et efficaces face à des Aghlabides en panne de solutions
Stade Hamda Laouani. Temps ensoleillé. Pelouse en bon état. Public assez nombreux. JSK - ESS (0-2). Buts de Belarbi (37’), Hannachi (43’). Arbitrage de Naïm Hosni. Avertissements à Sylla, Bouchniba (JSK) Beayou (ESS)
JSK : Frioui, Bouchniba (Rebaï), Hamdi (Salhi), T. Junior, Bacha, Traoré, Métiri, Romdhani, Laâouichi (Messaâdi), Sassi, Sylla.
ESS : Bédiri, Kechrida, Jemal, Boughattas, Ben Aziza, Aouadhi, Ben Amor, Hannachi (Brigui), Msekni, Belarbi (Bâayou), Aribi.
Avec l'entrée de Chawat et Manuchio, l’attaque sfaxienne sera plus percutante
Le dernier match face à Enugu Rangers a laissé des séquelles sur le double plan physique et technique. En effet, les Sfaxiens ont paru bloqués psychologiquement, et incapables de faire face au jeu physique des Nigérians bien en jambes et très bien appliqués, après une mi-temps catastrophique de la part des camarades de Dahmane, en dépit de quelques tentatives de l’Irakien Aymen Hassine.
Si l’élimination prématurée en Coupe de Tunisie constitue une déception pour les Cabistes cette saison, il n’en est pas de même pour le championnat où l’équipe assure et rassure.
Personne, à l’aube de l’actuel exercice, n’aurait parié sur un classement aussi honorable du CAB. Ni même son large public !
Pour un club réputé pour être le moins consommateur de coachs et qui a souvent prôné la constance du staff technique, l’actuel exercice a vu le bon élève déroger à la règle et c’est déjà le début de la pente raide.
Si l’élimination prématurée en Coupe de Tunisie constitue une déception pour les Cabistes cette saison, il n’en est pas de même pour le championnat où l’équipe assure et rassure.
Personne, à l’aube de l’actuel exercice, n’aurait parié sur un classement aussi honorable du CAB. Ni même son large public !
L’ancien régisseur international de l’Etoile du Sahel, Hamza Lahmar, a ouvert le score pour son club, Al Koweit SC à la 17e minute sur un magnifique coup franc direct, à l’occasion de la victoire (2-0) de son club devant Al Arabi pour le compte de la 13e journée du championnat du Koweit.Al Koweit SC est premier avec 30 points.
Par Kamel Ghattas
Si le public est universellement connu pour être plus ou moins versatile, c’est au niveau des dirigeants que l’on suppose plus sages et qui devraient, à n’importe quel moment, tenir compte de la préservation de l’esprit de collaboration et de confiance devant régner au sein de l’équipe, que l’on est toujours surpris par des réactions que l’on qualifie de plus ou moins surprenantes..
Au cours de la dernière décennie, la Chabiba s’est orientée vers le marché étranger au détriment du cru kairouanais .
Les choix n’ont pas satisfait les supporters à cause de la modestie de certaines recrues et leurs demandes financières parfois exagérées. Ces joueurs étrangers sont des solutions urgentes pour remanier l’insuffisance dans l’effectif en dénichant l’oiseau rare.
La trêve continentale à rendu un grand service à Dridi qui a pu récupérer certains joueurs-cadres blessés avant le match important face au CA, reporté
au 28 février, à Ben-Jannet...
Lotfi Zahi, ancien trésorier et président de la Commission de rédaction du projet des statuts auprès du Club Africain, vient de nous quitter. Le défunt a occupé plusieurs postes au club.
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