Le problème, ce sont, dans la majorité des cas, les familles à faible revenu qui s’endettent pour célébrer cette fête pour des raisons inhérentes à la religion, mais aussi sociales. Pour éviter les commérages, notamment dans les quartiers populaires, les familles se saignent aux quatre veines pour acheter le mouton, pour faire plaisir aux enfants, et aussi pour faire comme …