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Enfin ! Il a fallu des années et plusieurs rencontres entre les autorités des deux camps pour dénouer, dans une certaine mesure, l’affaire des déchets italiens qui nous ont empoisonné l’existence. Et tout cela par la faute de ces rapaces qui plus ils en ont (des sous), plus ils en veulent. Et comme ils ont en face d’eux, de l’autre côté de la rive, des partenaires aussi voraces qu’eux, sinon plus, les résultats sont garantis. A leur profit, bien entendu. Maintenant il s’agit de rapatrier les conteneurs (et ils sont nombreux) qui sont toujours stockés chez nous. Et le plus tôt sera le mieux. Espérons que nous n’aurons plus à souffrir de tels comportements.
