Pourquoi : «Il n’y a pas de réseau»
C’est le leitmotiv qu’on invoque, quelquefois, à l’adresse du citoyen lambda en quête d’un document, comme s’il en était responsable. Et cette situation peut durer. Cela dépend de l’humeur du fournisseur. Et en attendant, c’est donc le citoyen qui est pénalisé.
Et si les administrations, banques, entreprises, etc., fortes de leur statut, faisaient jouer la concurrence en s’abonnant concomitamment auprès de deux fournisseurs, basculant de l’un à l’autre en cas de pépins et faisant supporter les dépenses engendrées au fautif. Ne serait-ce pas une bonne idée ?