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Après le Royaume-Uni, le Canada et l’Australie reconnaissent officiellement la Palestine

  • 21 septembre 18:13
  • 2 min de lecture
Après le Royaume-Uni, le  Canada et l’Australie reconnaissent officiellement  la Palestine

Aujourd’hui, dimanche, l’Australie, le Canada et le Royaume-Uni ont officiellement annoncé la reconnaissance de l’État de Palestine, dans le cadre des efforts internationaux visant à parvenir à une solution à deux États.

Le Premier ministre australien, Anthony Albanese, a déclaré que son pays avait officiellement reconnu un État palestinien « dans le cadre d’un effort pour relancer la dynamique de la solution à deux États qui commence par un cessez-le-feu dans la bande de Gaza et la libération des otages qui y sont détenus ». Albanese a insisté sur le fait que le mouvement Hamas ne devrait avoir aucun rôle en Palestine.

De son côté, le Premier ministre canadien, Mark Carney, a annoncé que son pays reconnaissait désormais un État palestinien. Carney a déclaré dans un communiqué : « Le Canada reconnaît l’État de Palestine et propose de travailler en partenariat pour faire avancer la construction d’un avenir pacifique et prometteur pour l’État de Palestine et l’État d’Israël ».

À son tour, le Premier ministre britannique, Keir Starmer, a annoncé également la reconnaissance officielle de l’État de Palestine dans une déclaration vidéo sur son compte « X ». Il a déclaré : « Aujourd’hui, pour raviver l’espoir de paix entre les Palestiniens et les Israéliens et parvenir à une solution à deux États, le Royaume-Uni a officiellement reconnu l’État de Palestine ».

Il a poursuivi : « J’ai donné pour instruction d’imposer des sanctions à d’autres personnalités du Hamas dans les prochaines semaines », soulignant que « l’espoir d’une solution à deux États s’estompe mais nous ne pouvons pas laisser cette lumière s’éteindre ».

Starmer avait annoncé en juillet dernier que son pays reconnaîtrait officiellement l’État de Palestine à la date de l’Assemblée générale des Nations unies si les autorités d’occupation ne prenaient pas des « mesures substantielles » pour un cessez-le-feu.

Auteur

La Presse

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