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Société

Congrès international pour les 50 ans de la Faculté de Pharmacie de Monastir

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  • 17 novembre 12:19
  • 2 min de lecture
Congrès international pour les 50 ans de la Faculté de Pharmacie de Monastir

Le Parlement français a annoncé un nouvel amendement au projet de loi de financement de la Sécurité sociale (PLFSS) pour 2026, stipulant que tous les étrangers non-européens seront tenus de verser une contribution définie pour bénéficier des services d’assurance maladie.

L’ancienne Couverture Maladie Universelle (CMU), connue sous le nom de « Protection Universelle Maladie » (PUMA), permettait depuis 2016 à toute personne résidant en France depuis plus de trois mois d’obtenir une couverture médicale, quelle que soit sa nationalité ou sa situation professionnelle. Certains retraités étrangers avaient bénéficié de ce système, obtenant une carte « Vitale » et percevant des remboursements médicaux sans avoir payé de cotisations.

La nouvelle loi

Avec ce nouvel amendement, les étrangers non-européens ne pourront plus bénéficier gratuitement des soins de santé, mais devront payer une contribution obligatoire dont le montant sera défini ultérieurement par un décret réglementaire.

Jusqu’à présent, ce système était financé par les contribuables français, ce qui avait soulevé un débat sur sa pérennité et son équité, d’autant plus que certaines agences immobilières américaines utilisaient cet avantage pour attirer des retraités étrangers en France.

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Auteur

La Presse