La moisson des réussites
La fin de l’année 2025 semble prometteuse, à plusieurs égards, en termes de moissons que les Tunisiens n’ont pas manqué de relever et d’apprécier, à la faveur des annonces faites par les journaux, à l’issue des rencontres périodiques du Chef de l’Etat avec la Cheffe du gouvernement et le gouverneur de la Banque centrale, au terme aussi de l’adoption, par l’Assemblée des représentants du peuple (ARP) et le Conseil national des régions et des districts (Cnrd), de la loi de finances et du budget de l’Etat pour l’exercice 2026 et, enfin, à l’issue de la visite fructueuse effectuée par le Premier ministre algérien en Tunisie et sanctionnée par la signature de quelque vingt-cinq conventions de coopération et de partenariat.
Aussi, des victoires sécuritaires annoncées en matière de saisie de très grandes quantités de stupéfiants et d’arrestations de narcotrafiquants de réputation mondiale à l’annonce de l’augmentation des salaires, des pensions de retraite et des allocations aux franges sociales vulnérables, au cours des trois prochaines années, en passant par la très prochaine entrée en fonction du Conseil supérieur de l’éducation et de l’enseignement et aussi la révision du décret-loi relatif à la création de sociétés communautaires (Charikat Ahlia) dans l’optique de lever les obstacles qui empêchent toujours les jeunes de s’y investir, la moisson ne peut être qu’encourageante et augurer un avenir radieux.
Un optimisme né de la confiance qu’ont les Tunisiens et les Tunisiennes en leur Président, le fils du peuple, le Pr Kaïs Saïed, l’homme qui leur a permis de respirer à pleins poumons l’air de la liberté, de reprendre goût à la gestion directe de leurs cités et de leurs affaires et de se réconcilier avec leur droit absolu à l’exercice de leur souveraineté après tant d’années de servitude, d’obéissance aux lobbies et aux puissances étrangères.
Les valets de ces lobbies continuent toujours de nourir le rêve de tromper, de nouveau, la vigilance des patriotes qui ont décidé que la Tunisie n’appartiendra qu’à ceux et à celles qui ne vendent pas leurs âmes aux plus offrants.
Et c’est bien par le biais de la culture de militance inculquée par le Président aux Tunisiens que la Tunisie a retrouvé sa place parmi les nations éprises de paix, de justice, de solidarité et de tolérance.