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L’équipe nationale affronte le Botswana en amical à Tabarka : L’heure des choix

  • 18 décembre 21:00
  • 3 min de lecture
L’équipe nationale affronte le Botswana en amical à Tabarka : L’heure des choix

Un test discret loin des médias où Sami Trabelsi tentera d’aligner son onze-type, sinon son ossature.

La Presse — Le stage de Tabarka touche à sa fin avec ce test amical face au Botswana et le déplacement demain à Rabat pour disputer la CAN.

Ce test est l’unique occasion de faire jouer un onze idéal avant les choses sérieuses.

Et pourtant, avec ces arrivées échelonnées des joueurs expatriés, Sami Trabelsi n’a pu avoir le temps nécessaire pour tout faire.

Qu’importe, même deux jours ou trois sont suffisants pour situer le niveau des joueurs et soigner les détails.

Ce test amical tenu discret loin des médias est l’occasion pour le staff technique national de choisir son onze pour le premier match de la CAN.

Même si dans les dernières heures, le sélectionneur national hésite entre lancer le onze qu’il voit titulaire, ou deux équipes et faire jouer la concurrence jusqu’aux dernières séances.

Mais même s’il penche vers le second choix, l’ossature de l’équipe est là. Les Dahmen, Abdi, Bronn, Talbi, Skhiri, Mejbri, Sassi, Saad, Mastouri sont pratiquement sûrs de partir d’entrée.

A chacun des joueurs son état de fraîcheur physique, son bilan physique, et à partir de là, il aura le temps de jeu qu’il faut dans ce test amical. 

Sliti : course contre la montre

Rien ne filtre sur l’état de santé de l’ailier Naim Selliti. Le staff médical fait de gros efforts pour que le joueur rattrape le temps perdu et soit apte à disputer la CAN.

Mais en même temps, il semble bien que l’hypothèse de le voir s’absenter devient de plus en plus plausible.

On ne veut surtout pas prendre de risques pour son état de santé. Seif Allah Letaief reste la première alternative pour le remplacer. 

Les balles arrêtées

Une grande attention a été accordée dans les dernières séances préparatoires aux balles arrêtées.

Manière de tirer, placement, formules, tout a été travaillé pour améliorer le taux de réussite des Tunisiens dans cet exercice de plus en plus déterminant dans les grands tournois.

L’apport des défenseurs centraux et des attaquants est crucial si l’on veut rendre les balles arrêtées un atout pour notre équipe.

Même raisonnement en ce qui concerne les balles arrêtées subies.

La dernière coupe arabe a décelé énormément de défaillances à ce niveau, notamment au marquage et au dégagement. 

Auteur

Rafik EL HERGUEM