Commentaire : Un Président proche de son peuple
Encore une fois, le peuple tunisien est sorti hier en grand nombre pour célébrer le 15e anniversaire de la révolution. Une célébration dans la liesse durant laquelle les Tunisiens ont réaffirmé leur soutien indéfectible au Président Kaïs Saïed. Un soutien en guise de message clair à de pseudo-opposants qui veulent nous faire croire que les Tunisiens soutiennent de moins en moins leur Président. Une opposition qui ne veut pas comprendre, une fois pour toutes, que Kaïs Saïed est toujours dans le cœur des Tunisiens. Et c’est là que réside sa vraie force. La marée humaine qui a investi, hier, les grandes places aux quatre coins du pays est un signal fort de la popularité du Chef de l’Etat.
Parlons peu, parlons bien : le vrai atout de Kaïs Saïed, c’est le capital confiance dont il jouit auprès du peuple tunisien. Humble, courtois et franc, c’est le seul Président tunisien qui ressemble à son peuple car il parle son langage et partage ses soucis. Ce rapport de confiance qu’il ne cesse d’entretenir avec son peuple lui a permis de bénéficier d’une réelle acceptation dont les ex-présidents de la Tunisie n’ont pas pu jouir. Et c’est là un don du Président Kaïs Saïed lui permettant une communication fluide avec les Tunisiens. Ces derniers le considèrent comme un des leurs, contrairement aux ex-présidents qui ont toujours entretenu une relation verticale avec le peuple. Ajoutons à cela que Kaïs Saïed est arrivé au pouvoir grâce aux urnes, à travers des élections libres et pluralistes. Personne ne peut mettre en question sa légitimité. Une légitimité synonyme d’une volonté souveraine du peuple tunisien qui a élu librement son Président à deux reprises.
Accuser délibérément un président élu démocratiquement de dictature n’a aucun sens ni fondement. Car, dans un Etat démocratique, il faut toujours respecter la volonté du peuple. Certes, il n’est pas interdit de s’opposer aux choix politiques de Kaïs Saïed. Bien au contraire, la Constitution garantit la liberté d’expression à tous les citoyens. Mais la liberté d’expression n’est pas synonyme de diffamation, de diffusion de fausses informations ou d’atteinte à la liberté d’autrui.
En définitive, si on peut comprendre ceux qui critiquent Kaïs Saïed, on ne peut, en revanche, accepter leur attitude d’occulter ses réalisations. Car, il faut le reconnaître, Kaïs Saïed livre une vraie guerre de libération de la Tunisie. Une guerre qui commence déjà à porter ses fruits.
