Retour sur la rencontre du Président de la République Kais Saied avec Bouderbala et Derbali : L’unité des institutions au service de la souveraineté nationale
La rencontre, jeudi 25 décembre au Palais de Carthage, entre le Président de la République, Kaïs Saïed, et les présidents des deux chambres parlementaires marque un moment de haute portée politique et symbolique.
En recevant Brahim Bouderbala, président de l’Assemblée des représentants du peuple, et Imed Derbali, président du Conseil national des régions et des districts, le Chef de l’État a réaffirmé la centralité de l’action concertée entre les institutions constitutionnelles, dans le respect scrupuleux des prérogatives de chacune, au service exclusif de l’intérêt national.
La Presse — Au cœur de cet entretien, une constante : la souveraineté. Non pas comme slogan figé, mais comme ligne de conduite. Le Président de la République a rappelé avec force que le choix souverain du peuple tunisien demeure la boussole de l’action publique, et que les défis actuels — notamment socioéconomiques — appellent une mobilisation collective, lucide et résolue.
L’État, dans sa conception présidentielle, n’est ni fragmenté ni concurrentiel : il agit comme un corps uni, animé par une volonté commune et un sens élevé de la responsabilité historique.
La vision portée par le Président Kaïs Saïed repose sur une conviction profonde : la Tunisie possède en elle-même toutes les ressources nécessaires pour réussir.
Ses compétences sont multiples, son potentiel intact, et son élite véritable réside dans sa jeunesse. Cette jeunesse, trop longtemps marginalisée, est désormais appelée à devenir l’architecte de la transformation nationale.
Le Chef de l’État l’a souligné avec clarté : les espoirs du peuple ne se réaliseront pas dans l’abstraction des textes, mais dans la concrétisation des politiques publiques, dans l’action, dans la mise en œuvre effective des réformes attendues.
C’est là que se dessine la cohérence de la démarche présidentielle : traduire la volonté populaire en réalités tangibles, en justice sociale, en dignité retrouvée.
Une œuvre qui ne peut être portée que par des patriotes libres, guidés par l’honneur et le sens du devoir, refusant toute compromission et toute alternative qui trahirait l’esprit du sacrifice consenti par le peuple tunisien.
Dans son allocution, le Président de la République a également insisté sur la nécessité de demeurer unis et solidaires sur un même front. La voie empruntée est celle que le peuple a tracée par ses luttes, ses blessures et ses espérances.
Elle ne souffrira ni recul ni renoncement. Les tentatives de retour en arrière, portées par les résidus d’un ordre révolu, sont vouées à l’échec face à une volonté populaire déterminée à aller jusqu’au bout de son ascension.
À Carthage, le message est clair : la Tunisie avance, debout et confiante. Les flambeaux de la lumière continueront d’éclairer le chemin de ceux qui ont été lésés, opprimés ou exclus.
Et sous l’impulsion du Président de la République, l’État tunisien poursuit sa marche, fidèle à la promesse faite au peuple : celle de l’honneur, de la justice et de la dignité retrouvée.