La Tunisie à l’heure du développement : Le Président Saïed prône le travail, rien que le travail

Il existe une sorte d’unanimité quant à la nécessité pour tous les responsables, à tous les échelons, de jouer leurs rôles et de s’acquitter des tâches qui leur sont dévolues dans les différents secteurs des services publics, l’objectif final étant de répondre aux attentes du peuple qui a placé toute sa confiance en la personne de Kaïs Saïed pour réaliser le développement durable et global.

La Presse — En effet, avant d’appeler les divers départements à passer la vitesse supérieure, le Chef de l’Etat n’a raté aucune occasion pour mettre l’accent sur l’obligation pour les services publics de remplir convenablement leurs rôle dans le sens où les salaires qu’ils perçoivent proviennent de l’argent du peuple tunisien, ce qui implique, logiquement, que lesdits salaires soient destinés à servir ce même peuple.

D’ailleurs, le Président de la République n’a pas mâché ses mots en soulignant, lors des multiples rencontres qu’il a eues avec la Cheffe du gouvernement, que les «sommes colossales allouées aux structures institutionnelles devraient être plutôt investies dans des mécanismes efficaces, capables de concrétiser les objectifs pour lesquels ils ont été créés…»

Plus encore, le Président Kaïs Saïed a mis en exergue l’importance d’ouvrir de nouveaux horizons dans tous les domaines et dans toutes les régions, afin de faire bénéficier chaque citoyenne et chaque citoyen des dividendes des avancées sociales et économiques ainsi que le droit légitime à la dignité.

Et pour atteindre ces objectifs, il est primordial d’opter pour des approches innovantes, ce qui exige le recours à toutes les forces vives de la Nation, dont notamment les jeunes  compétences, qui seraient les mieux indiquées pour remplacer les éléments ayant failli à leur devoir puisque ces défaillants n’ont pas compris que la responsabilité est un fardeau à porter.

Dans ce même ordre d’idées, le Chef de l’Etat a toujours fait preuve d’intransigeance envers ceux qui rêvent d’un retour en arrière et font preuve de négligence et de nonchalance croyant, à tort, qu’ils sont «vissés» à leurs postes, sachant qu’ils sont tenus, au contraire, à répondre positivement aux revendications pour une vie digne, d’où la nécessité de démanteler tous les réseaux de corruption et d’assainir l’administration des éléments qui se croient au-dessus de la loi.

A ce propos, il est utile de noter que la Tunisie nouvelle est mise sur les rails de la locomotive du développement dans un cadre de souveraineté totale et d’indépendance de prise de décision afin de concrétiser l’idée juste et chère au Président de la République, à savoir l’émergence d’un État social où il fait bon vivre pour toutes les catégories du peuple tunisien dans toutes les régions du pays sans la moindre distinction.

Or, pour espérer atteindre cette situation favorable à tous les citoyens, il est impératif de confirmer les tendances de reprise économique et sociale qui ne peuvent être mises en pratique que par le biais du travail bien fait.

Ainsi, si on veut maintenir l’esprit du compter-sur-soi, justement prôné par le Chef de l’Etat, il va de soi qu’on doit faire prévaloir la valeur du travail dans la mesure où il est nécessaire que tous redoublent d’efforts pour espérer parvenir aux buts visés et réaliser les attentes du peuple, d’où l’obligation de bannir toute forme de paresse.

Les temps sont ainsi au travail, rien que le travail avec une mise en relief de la valeur du travail, surtout que notre pays dispose de grandes richesses et d’importantes potentialités qu’il faut savoir exploiter à bon escient grâce à de nouvelles idées, de nouveaux concepts afin d’établir un modèle de développement durable et global susceptible de permettre la réalisation des projets ambitieux touchant à tous les secteurs.