Le doyen des vétérinaires, Ahmed Rajeb, a indiqué ce vendredi que « la prolifération des chiens errants est étroitement liée à l’accumulation des déchets dans les rues, en plus de la présence de moustiques et d’insectes ». Il a souligné qu’il est « contre les opérations d’abattage, mais qu’il n’y a pas d’alternative si les chiens sont errants et féroces ».
Intervenant par téléphone sur la radio, Rajeb a expliqué que « l’environnement propre est une responsabilité collective, et l’État a le devoir de protéger le citoyen ». Il a mentionné que « les enfants n’osent plus aller à l’école de peur que des chiens errants ne les interceptent et ne les attaquent sur la voie publique ».
Rajeb a appelé les associations de protection des animaux à proposer des solutions alternatives à l’abattage des animaux qui représentent un danger pour les citoyens, si de telles solutions existent.