Engagement gouvernemental citoyen : Les cadeaux de fin d’année
Quand les opposants égarés et éparpillés dans Paris poursuivent leur quête de dénigrement de la Tunisie, le Président Kaïs Saïed engage son gouvernement à multiplier les présents aux Tunisiens bien avant l’avènement du Nouvel an.
Ainsi, les augmentations salariales triennales (2026, 2027, 2028) sont maintenant institutionnalisées, les cotisations à la Cnss non payées par les entreprises du secteur privé le seront avant le 31 décembre et les promoteurs en mal de liquidités bénéficieront du rééchelonnement de leurs arriérés.
La Presse — Au moment où les lieutenants de Noureddine Taboubi multiplient les rencontres avec «les spécialistes de la 25e heure» du droit du travail afin de dénicher une astuce juridique qui permette au bureau exécutif actuel de l’Ugtt de sauver les meubles et d’échapper à la reddition des comptes, à l’instar de tous ceux et de toutes celles qui se sont crus longtemps au-dessus de la loi tout simplement parce qu’ils ont lancé une pierre, à l’époque des Présidents défunts le leader Habib Bourguiba et Zine El Abidine Ben Ali, à l’encontre d’une «Baga» de la police qui effectuait une tournée ordinaire dans un quartier populaire ou résidentiel, le gouvernement présidé par Mme Sarra Zaâfrani Zenzri, sous l’impulsion du Président Kaïs Saïed, poursuit son action sur la voie de l’innovation, de la créativité et de l’adaptation progressive de l’administration tunisienne à la modernité, dans le but de faire en sorte que le citoyen tunisien se réconcilie avec son pays et reprenne confiance en sa capacité à faire décoller sa Tunisie chérie et à lui permettre d’occuper la place qui lui revient de droit dans le cercle des nations développées.
Les nations qui travaillent, avancent, produisent et sont maîtres de leur devenir national. Loin des pressions de l’étranger, des conseils amicaux, des fausses leçons de démocratie, de l’interventionnisme déguisé ou même institutionnalisé dans certaines capitales occidentales où les harkis occupent toujours les bidonvilles et leurs fils et petits-fils gagnent la Coupe du monde mais sont considérés comme des gueux par les gueux qui ont oublié leurs origines.
Et la Tunisie d’innover quotidiennement en matière de gestion des affaires de l’Etat, à l’instar de la décision de réformer le système de formation au sein de l’Ecole nationale d’administration (ENA) afin que nos futurs administrateurs accèdent à la maîtrise intelligente de l’intelligence artificielle (IA) et ne ratent pas l’entrée de notre pays dans le club huppé des pays intelligents.
Parallèlement, le Parlement se mobilise pour éclairer les Tunisiens sur les augmentations salariales prévues dans la loi de finances 2026 et pour leur dire que les infimes pourcentages qui ont circulé sur les réseaux sociaux et propagés par certains pseudo-experts ayant la science infuse sont totalement faux.
Puisque rien n’a été défini jusqu’à présent et les majorations seront officiellement communiquées, en temps opportun.
Idem pour la grâce sociale qui sera appliquée à distance et qui permettra aux entreprises retardataires du secteur privé de s’acquitter de leur dû auprès de la Cnss intégralement ou de bénéficier du rééchelonnement de leurs arriérés.
L’objectif final étant que les travailleurs du secteur privé puissent bénéficier des avantages que leur offre leur adhésion aux systèmes de sécurité sociale et aussi de mobiliser les entrepreneurs du secteur encore en retard par rapport à l’approche de l’Etat social prôné par le Chef de l’Etat afin qu’ils saisissent que la pérennité de leurs entreprises et le développement de leurs revenus sont indubitablement dépendants du respect strict et continu de la législation du travail et des mutations qu’elle subit, à un rythme que personne n’est en mesure, aujourd’hui, de contenir ou d’y échapper quelles que soient les astuces ou les jongleries auxquelles certains experts ont recours.